vendredi 30 mai 2008

Maroc



Quelques images de Rabat, Meknès et Rabat à nouveau...le reste est là :http://www.facebook.com/album.php?aid=52719&l=822a4&id=731086214 et là http://www.facebook.com/album.php?aid=54284&l=7a6c8&id=731086214

Marseille



Quelques images phocéennes...La déco de La Compagnie de Provence qui m'a particulièrement touchée, Yaël Naïm et la plage du Prophète. Le reste est là :http://www.facebook.com/album.php?aid=54374&l=c35a0&id=731086214

lundi 21 avril 2008

Tegernsee




Quelques photos de notre échappée dans les environs de Munich au bord du lac Tegernsee...

dimanche 20 avril 2008

Berlin

Fin de partie bruxelloise, début du voyage. Première halte à Berlin. Je me sens un peu out parmi ses gens tellement in. Trendy, arty, fashion. La touche berlinoise. Un peu marché aux puces, décalé, négligé savamment étudié. Tous ces gens sont tellement cool. Artistes. Ou barmen/maid. A croire que personne ne bosse dans un bureau à Berlin (des architectes à la rigueur peut-être, ça va c'est assez cool d'être architecte). Même les avocats sont artistes à mi-temps. A part observer la foule et les dernières tendances, j'ai aussi mis le nez dans les musées à l'occasion de la biennale d'art contemporain. Heureusement il y a des petits guides explicatifs fort bien faits, parce que la plupart du temps on se retrouve un brin dubitatif devant les oeuvres exposées. Et je me rend compte que ce n'est plus vraiment l'oeuvre en soi qui est importante mais plutôt la démarche, le geste créatif. Après, on put comprendre et ne pas adhérer pour autant. Mais du moins, ça donne à réfléchir, on ne nous fournit plus du beau, du prêt-à-admirer, c'est sûr, mais on nous fait sortir de nos ornières battues. Après deux musées, le Kunst-Werk Institut et la Neue Nationalgalerie, nous nous sommes retrouvées en plein air, Claire et moi, dans le Skulpturenpark, pas un parc du tout en fait, mais une suite de terrains vagues. Où sont éparpillées des oeuvres que les visiteurs dotés de plans cherchent à reconnaître parmi les non-oeuvres pièges. C'est assez drôle et incongru, ça ressemble à une chasse aux trésors. Les gens se rassemblent religieusement autour d'un grand sac en plastique qui traîne, croyant qu'il fait partie de l'expo et puis découvrant que finalement non. L'échafaudage à côté par contre oui. Bon, comme je vous l'ai dit il y a matière à réflexion plus qu'à extase. La dernière pièce était particulièrement réussie, il s'agit d'une vidéo sur une Suédoise qui raconte sa passion sexuelle et amoureuse pour les objets et en particulier pour le mur de Berlin, auquel elle s'est mariée. Elle a plein de reproductions de mini-murs chez elle, qu'elle caresse avec tendresse et promène en traîneau. C'est complètement barré mais génialement filmé.
Pour voir la ville d'en haut sans payer dix euros (Fernsehturm), je suis montée dans la coupole du Reichstag, belle pièce architecturale en soi en plus de la vue qu'elle offre sur la ville. Non loin de là, j'ai visité le mémorial de l'holocauste de Peter Eisenman. Malgré quelques doutes a priori, je me suis enfoncée parmi les stèles de plus en plus hautes et me suis laissée gagner par la solennité et l'émotion que dégage le lieu.
J'ai flâné également au marché aux puces du Mauerpark, immense, institution berlinoise dominicale. J'en ai profité encore pour me repaître du spectacle de la foule berlinoise et de ses accoutrements, en prêtant l'oreille aux musiciens et le coin de l'oeil au faiseur de bulles géantes.
Prochaine halte à Munich après six heures de train. Photos suivent dès que possible.

vendredi 28 mars 2008

Belga night




Dernière semaine, dernières frites, dernière kriek...




C'est ma dernière semaine à Bruxelles et il est temps de faire mes adieux à la ville et aux amis que j'y laisse. Hier midi dernier tandem franco-allemand avec Daniel, un de mes anciens "élèves". Déjeuner typiquement belge: frites de chez Antoine, place Jourdan, dégustées dans un des cafés de la place, frites-friendly, pour s'abriter de la pluie, typiquement bruxelloise...
Le soir, dernier cours de danse et grosse déception, ma super prof japonaise n'est pas là...snif, j'adorais ce cours!! Du coup c'est une remplaçante, belge, qui assure le cours. Mais c'est moins bien. Le seul truc marrant c'est qu'elle a un accent belge bien appuyé et l'enthousiasme d'une présentatrice météo. Bon. Pour essuyer la déconvenue, je retrouve les quelques amis que j'ai pu réunir (ceux qui n'ont pas de migraines ou de pb de chauffage...) au café Belga, place Flagey, dans l'immeuble paquebot qui abritait la maison de la radio. Natassa, Tsvétomir, Ana, Anna-Karin et Alessio. Une Grecque, un Bulgare, une Croate, une Suédoise et un Italien. Bruxelles la cosmopolite.
C'est le moment d'une dernière kriek. Et pour les statistiques, alors que font-ils ces jeunes européens polyglottes qui restent dans la capitale européenne après leur stage? Dans cette capitale que les touristes ont élu "most boring capital of Europe"...
Natassa a trouvé un poste d'intérimaire pour 6 mois dans une agence exécutive de la Commission. Elle fait un peu un boulot de comptable et ne se sent pas vraiment à sa place vu qu'elle a une formation de linguiste et qu'elle s'apprête à retrouver un poste de prof d'anglais de retour à Athènes. Tsvétomir a un contrat de 6 mois à la DG élargissement où il a fait son stage. Ana, ma coloc, termine son stage dans une agence de consulting italo-croate et a obtenu un contrat de 10 mois pour la suite. Anna-Karin a trouvé un boulot de quelque chose qui ressemble aussi à de la comptabilité. Elle a essayé de m'expliquer en quoi consiste son boulot, mais j'avoue que ce n'est toujours pas très clair pour moi. Et Alessio a été embauché comme contractuel à la DG Aidco (aide au développement) mais ne commence qu'en juin. Ce n'est qu'un petit échantillon, je ne sais pas quel pourcentage d'anciens stagiaires reste à Bruxelles ni pour combien de temps mais j'ai l'impression que beaucoup restent. Parce que c'est plus facile de trouver du boulot ici. Mais aussi parce que Bruxelles n'et pas cette "boring capital". Peut-être seulement pour les touristes. Et encore. Je n'ai jamais eu l'impression que mes visiteurs s'y soient ennuyés. (les visiteurs en question peuvent envoyer leurs réactions!) Le futur coloc d'Ana, un néerlandais, me disait même que lui préfère Bruxelles à Paris. Je ne veux pas trancher. Paris est une ville superbe mais. C'est vrai qu'à Bruxelles, j'ai l'impression que tout est plus accessible parce que c'est plus petit. Peut-être aussi l'impression qu'elle est plus vivante, plus vraie, pas juste une belle façade touristique. Le point positif, c'est qu'on peut passer rapidement de l'une à l'autre.

jeudi 27 mars 2008

Piolalibri




Mon QG italien fêtait son premier anniversaire mardi, ce fut l'occasion d'un concert de rock d'un groupe français avec un nom à coucher dehors: Lala power Mandchester Fever www.myspace.com/lalapower
et de faire découvrir le lieu à mon hôte brésilienne, Renata. Et de lui faire goûter le Brachetto, un vin rosé, pétillant et sucré (miam:)).